Les recherches d’Andréa Le Guellec se basent sur l’observation d’individualités. À travers la vidéo, l’installation et les dispositifs sonores, elle associe références littéraires et culture populaire dans des narrations à mi-chemin entre documentaire et fiction.
Dans ses terrains de jeux, qui vont de la tour d’habitation à l’hippodrome, en passant par l’usine et le stéréotype de l’île déserte, elle prend l’environnement comme base visuelle d’un travail sonore, et cherche à s’approprier leurs caractéristiques au contact des architectures et des humains, pour puiser dans le quotidien ses fictions temporaires.