Imaginer de nouvelles existences, de nouveaux rapports aux autres, de nouvelles pratiques, me permet de penser les continuités que l’on brise.
Pour cela, je me rapproche du vivant et du sensoriel, du sauvage et de l’artificiel. Questionner la violence et la domination, proposer des expériences reprenant des situations de domestication pour introduire l’apprivoisement.
Je m’intéresse à ce qui dégoûte, repousse et fascine à la fois. J’y trouve de la beauté. J’investis des lieux pour y créer des environnements autres, mêlant fiction et réel tout en aimant les confondre.
Il est important, je pense, de se raconter des histoires nouvelles, de mutations et cohabitations possibles pour appréhender autrement ce réel – terrible et magnifique – dans lequel nous évoluons tous.tes.