Poussé par un intérêt pour les structures sociales et formelles, j’initie des processus de toucher : j’explore les techniques de frottage et d’empreinte.
Les textures, structures et formes que je trouve dans l’espace urbain, dans la nature, etc. sont adoptées et traitées.
Il en résulte des expositions in situ d’éléments divers et modulaires (frottages, céramiques, interventions performatives ou vidéo-sonores).
CORPOréalité devient l’attitude protagoniste du processus ainsi que de la perception de l’art. Le terme remplace et étend le concept de corps, le comprenant comme une matière imaginaire et malléable, un tissu sensible à l’impulsion constante, inséparable d’une mémoire individuelle et collective.
J’ai collaboré avec des associations telles que VSP (GR), il Melograno (IT), en créant des ateliers et des projets d’art participatif pour questionner et redéfinir notre compréhension de la communauté.