Son travail est façonné par les interactions sociales, en particulier par les fines nuances de la cruauté, les aspects cachés de ne pas être désiré ou compris par les habitudes de communication communes. Des observations dans une société qui connaît des changements radicaux. Son travail commence là où elle devient un outsider. L’œuvre reste en tension avec la psychanalyse, l’illusion et la perception.
» Je ressens le besoin de développer et de capturer des situations amorphes sans enlever l’espace et la profondeur.
J’ai tendance à interagir avec mes œuvres comme avec des individus. Pendant le façonnage et le brainstorming, je communique et entre profondément en contact avec leur noyau qui n’est d’abord qu’une sensation indéfinie. À partir de ce point d’émergence, je détermine les besoins qui mèneront à une apparence et à une narration individuelles qui racontent des gestes intimes tout en s’appropriant de purs restes de la civilisation humaine ».