Mon travail se situe à la lisière du politique.
Je tente de faire émerger des ambivalences pour questionner le socle social sur lequel repose notre société.
C’est un jeu avec les règles et codes préétablis. Un jeu, qui, s’y l’on s’y prête, propose différentes lectures du monde qui nous entoure.
Réactiver le champ des possibles, du moins l’espoir d’un possible. L’imaginaire collectif se mêle à l’imaginaire individuel. Je suis sensible aux manières dont nous communiquons et faisons entendre nos voix. Ce champ de recherche m’amène à interroger, toujours par le prisme des codes sociaux, nos différentes manières de se rendre visible, d’être entendus et écoutés, ensemble, entre nous et entre divers types d’organisations sociales.
Je recherche des façons de prendre place au présent de manière attentive. De prendre soin de nos liens ou d’en créer de nouveaux afin de reconsidérer de nouvelles manières de faire société.